Le présent site internet a pour but d’éveiller l’opinion publique sur une pratique abusive répandue dans les sociétés occidentales, malheureusement ignorée quoique pressentie par beaucoup. Il s’agit de la « prostitution d’État» c.à.d. de la pratique systématique d’harcèlement sexuel à l’encontre de femmes ordinaires par des éléments issus directement des pouvoirs publics. Non seulement les victimes deviennent-elles alors la proie de véritables « prédateurs » mais, en outre, elles sont souvent victimes de viols. Si de tels scénarios semblent relevés de la fiction, ils n’en sont pas moins réels. S’ils provoquent une réaction d’horreur, il faut aussi savoir que, très souvent, ce type de pratiques sont souvent « tolérées » voir cautionnées par l’autorité. C’est donc sous le couvert de l’État de droit que de tels abus existent. La collusion des pouvoirs publics avec les milieux mafieux est chose connue. Mais que dire alors d’une participation directe des instances publiques dans le harcèlement et la prostitution d’honnêtes citoyennes? Repérées, traquées comme des bêtes, acculées au pied du mur, ces femmes sont obligées à se « livrer »... Une victime potentielle n’aura de paix qu’une fois abandonnée à la débauche pour le compte d’individus ou de groupes qui font pression sur elle. En d’autres termes, la pratique du « viol comme arme de guerre » n’est pas seulement une réalité de pays pauvres mais c’est aussi un fait propre à l’Occident. A la différence près que les sociétés occidentales ne sont pas en guerre. La « prostitution citoyenne», par conséquent, semble avoir pour premier objectif une finalité « sociétale » voir même politique. On prostitue en vue d’un projet. La prostitution d’honnêtes citoyennes dans les sociétés dites industrialisées semble être un véhicule direct, brutal, pour en parachever la réalisation. Car, si on s’unit en vue d’une idée, on peut alors (poussant la logique plus loin) tout aussi « engendrer » les enfants d’un ordre social : citoyens modèles, membres de communautés préétablies, incarnations biologiques d’un consensus idéologique. Relents de pratiques totalitaires. Trouver les « mères-porteuses », dans un tel ordre des choses, c’est construire la nation. Les données des fichiers de renseignement servent-elles à « repêcher » des « éléments » plus « aptes » à répondre aux objectifs visés? Sur la base du seul « pédigrée » : nom, ascendant, morphologie, profil général. Car la République des prédateurs a un penchant pour le « sang-bleu » (résidu et avatar de vieille noblesse). Tout prédateur est « chasseur de tête ». Happer la victime est un jeu d’enfant. Si la victime potentielle croit trouver un « bon parti », le pari est vite gagné. Au contraire, si elle s’oppose, le « prédateur » se tourne contre elle. De vrai-faux ami, il devient bête sanguinaire ne lâchant sa proie qu’au prix d’un horrible chantage : la liberté au prix de la dignité. La victime qui persévère à rejeter de telles « propositions », s’expose aux milles tracas d’une vie impossible. Qu’on se le dise, les femmes qui se sont compromises dans ce jeu horrible encourent une issue tout aussi fatale. Faut-il alors croire que, dans un État de droit, en 2013, ce genre de scénarios soit possible? Faut-il croire, qu’aujourd’hui, des milliers de femmes sont victimes de la « prostitution d’État », réduites au silence au risque de mourir? Faut-il croire qu’une telle abomination existe: que des femmes ordinaires vivent l’enfer au grand jour tandis que leurs concitoyens vaquent à leurs occupations comme si de rien était? Faut-il croire que l’État est proxénète et qu’il en fait sa marque au nez et à la barbe des gens honnêtes? Faut-il croire qu’une frange non négligeable des forces de l’ordre fait de la prostitution son activité de prédilection? Faut-il croire que, dans une société qui défend – en principe - des valeurs basées sur l’Évangile, personne n’ose lever le doigt pour venir en aide à des citoyennes victimes d’une redoutable machination? Faut-il croire que ce fléau n’est décrié par aucune instance politique, religieuse ou associative? Faut-il croire, enfin, que des femmes ne peuvent exprimer leur désarroi et que les « prédateurs » qui font la lie de ce gigantesque chantage profitent du vide juridique existant sur cette scandaleuse affaire? Les victimes, ce sont d’abord ces femmes plus « visibles ». Celles qui gravitent autour de l’univers des médias. L’ « industrie » du cinéma et de la télévision « recrute » beaucoup. Machine à prostitution, la « prostitution d’État » n’y est pas en reste. Et pour cause, de puissants lobbies gangrènent les médias. Si, pour créer un « ciment social » il faille aussi manipuler les attitudes et les mentalités, ne revient-il pas d’abord aux médias d’être un outil privilégié de « propagande »? Quid alors de l’image travestie de la femme? Double piège, par conséquent. Femmes «initiées», hier victimes consentantes désormais « affranchies ». Protégées et « introduites » dans les arcanes du pouvoir. Mais dépossédées et à la merci de réseaux. Ensuite, viennent les victimes silencieuses et cachées. Comme d’aucuns, citoyennes ordinaires. Sauf qu’un jour, elles ont été « repérées». Dispositif digne de scénario d'épouvante : véritable chasse à l’homme. Une femme traquée, peut-elle s’en sortir indemne? Seule, elle est à la merci des bourreaux. Un «prédateur» n’a rien d’un être humain, c’est un monstre. Plus la victime est faible, plus vite l’animal féroce s’acharne sur elle. Peut-elle se défendre? Fatalement, l’échec d’une victime est un échec programmé. Si le statut (professionnel, social) fait défaut, sans notoriété suffisante, elle n’en tombera que plus facilement victime des griffes des violeurs et des assassins. Se prémunir contre ce fléau c’est, pour une femme, construire un réseau. Grâce au prestige d’une profession, par exemple, une femme peut échapper au piège. J’ai vu, de mes yeux vu, des jeunes femmes tomber entre les mains de garçons qui se présentaient sous les meilleurs auspices. Une fois infiltrés dans les milieux associatifs, ces bonnes têtes « cherchaient femmes». Combien de fois n’ai-je pas aussi vu des filles abandonnées, un enfant dans les bras? Ne faut-il pas mobiliser les consciences pour venir en aide aux innocentes victimes d’une spirale épouvantable? Les instances dirigeantes « tolèrent » la « traite » d’honnêtes citoyennes et nous rendent tous coupables d’un tel forfait. Femmes qui « participent » en échange d’une vie sauve… Nous ne pouvons-nous taire. Ce site internet www.lachainedor.org est le commencement d’une chaîne de solidarité – chaîne d’or – dont le but est de venir en aide aux femmes victimes de ces incroyables abus.
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